Récit de notre croisière en famille en Polynésie vers les Marquises dans le cargo mixte Aranui 5

Le 1er juin dernier, nous sommes montés à bord de l’Aranui 5, un cargo mixte qui dessert tous les 15 jours les îles Marquises à plus de 1500 kilomètres de Tahiti. Ce bateau a pour vocation la livraison de marchandises, mais embarque aussi à son bord des passagers, dans un cadre assez luxueux.

Voici notre récit de voyage, de Papeete (Tahiti) aux îles Marquises en passant par les îles Tuamotu et Bora-Bora avec nos 2 enfants de 13 mois et 4 ans. À la suite de ce récit, je vous donnerai quelques informations supplémentaires sur ce voyage en famille et ce que nous en avons pensé.

Récit de notre croisière en famille en Polynésie : de Tahiti aux Marquises en cargo mixte

Jour 1 de notre croisière en famille : le départ

Nous embarquons à 8 heures. C’est tôt, mais heureusement nous avions trouvés un logement Airbnb à 2 pas du quai !

Nous découvrons le bateau où nous allons passer ces 12 prochains jours et, en premier lieu, notre cabine. Elle nous semble grande et luxueuse pour une cabine standard. Il y a un grand lit et 2 lits superposés, et une petite salle de bain privative. Le bateau est séparé en 2 : devant c’est le fret, et derrière sur 10 étages les cabines des passagers et plusieurs espaces communs : la salle de restaurant, une salle de conférence, le pont avec une petite piscine (oui, il y a même une piscine !) et 2 bars.

La matinée commence par une réunion d’information sur la sécurité. Puis suit un exercice de sécurité : munis de nos gilets de sauvetage, nous nous rendons au point de rendez-vous (ou l’on embarquerait dans les canots de sauvetage en cas d’évacuation réelle). Après cela, nous assistons à un spectacle de danse marquisienne superbement exécuté sur le pont extérieur . Un avant-goût de ce qui nous attend !

À midi, le bateau quitte enfin le port et nous prenons notre premier déjeuner à bord alors que le bateau longe Tahiti avant de partir en haute mer. L’après-midi se fera donc avec la mer à perte de vue pour seul horizon. Lætitia est malade et va se reposer. Pendant ce temps j’emmène les enfants dans la petite piscine du bateau. Ça tangue fort alors ça crée une piscine à vague. Cela plaît beaucoup à Éléanor !

Nos premières impressions après une journée :

  • Le bateau est confortable et plutôt luxueux.
  • Nous sommes 190 passagers à bord, mais cela n’est pas gênant (on ne se bouscule pas sur le pont, la plupart restent dans leur cabine)
  • La moyenne d’âge est très élevée. Il n’y a que 2 fillettes (8 et 13 ans) anglaises en plus de nos enfants.
  • Le personnel (entièrement polynésien) est adorable et aux petits soins, surtout avec nos enfants !
  • Ça tangue plus que ce que nous l’avions imaginé. Lætitia est un peu malade, mais heureusement les enfants n’ont pas le mal de mer (et ne l’auront pas de toute la croisière !).

Jour 2 : arrêt à Fakarava dans les Tuamotu

Lorsque l’on se réveille vers 7h, on voit que le bateau est en train d’appareiller dans le lagon de Fakarava dans les Tuamotu. Cet arrêt pour la matinée seulement est uniquement fait pour les passagers : le fret (livraison de marchandises) ne se fait que sur les Marquises.

Après le petit déjeuner, nous partons en barge jusqu’au port de Fakarava où nous découvrons cet atoll. C’est une nouveauté pour nous de visiter une « île basse » (vue du ciel c’est magnifique : voir les photos prises avec notre drone ci-dessous) ; nous n’avions vu que des îles « moyennes » dans l’archipel de la société. Et nous verrons des îles hautes dans les Marquises.

Nous marchons un peu pour nous trouver une petite plage. Il y a de nombreux requins assez gros qui viennent jusqu’au bord de la plage. Cela nous dissuade un peu de faire du snorkeling. Plus tard, nous apprendrons qu’il s’agit de requins dormeurs très inoffensifs. Nous passons ainsi la matinée, cela fait du bien de mettre pied à terre même si ça continue à tanguer. Le fameux mal de terre !

À midi, nous retournons au bateau pour le déjeuner pendant qu’il quitte Fakarava pour s’enfoncer dans la haute mer. L’après-midi passé en mer sera comme la veille consacrée à la piscine, de la glandouille et des jeux avec les enfants. Le soir, l’équipage nous est présenté : il y a beaucoup de monde (12 personnes en cuisine, dont 3 pâtissiers par exemple !).

Jour 3 : en mer

Journée entièrement en mer (c’est loin les Marquises !!). Lætitia est toujours malade. Le matin nous assistons à une conférence sur l’histoire des Marquises avec Éléanor, tandis que Victor fait sa sieste sur moi. L’après-midi nous jouons tranquillement tous les 3 dans le grand salon et nous profitons à nouveau de la piscine.

Jour 4 : Nuku Hiva

Ça y est ! Nous sommes aux Marquises !

Le matin, le bateau est à quai. Ainsi lorsque nous nous réveillons nous découvrons le paysage de la baie de Taiohae où il est stationné. C’est assez magique d’être ici, et encore plus de se dire que nous y sommes arrivés par la mer !

C’est une journée avec excursion organisée. Nous allons nous promener dans le village et le port, admirant la vue et la production d’artisans locaux. L’excursion démarre : nous montons dans le 4×4 qui nous promènera toute la journée. Avec 190 passagers je vous laisse imaginer le nombre de véhicules ! Les habitants de cette île sont très sollicités lorsque l’Aranui fait son escale bimensuelle ici ! Nous commençons par la visite guidée de la cathédrale. Puis nous traversons l’île en enchaînant les points de vue magistraux. Finalement, nous nous arrêtons pour le déjeuner à Hatiheu. Après le déjeuner nous visitons le site archéologique de Kamuihei où nos guides nous en apprennent beaucoup sur la vie des habitants de l’île autrefois, les us et coutume et l’importance des danses (nous en aurons d’ailleurs une chouette démonstration par des danseurs convaincants en tenue).

Ensuite, retour au village puis au bateau (où nous arrivons les derniers et… en retard).

La journée a été très intéressante, mais le rythme un peu trop intense. Les visites organisées en groupe sont une grande première pour nous et, bien que cela permette d’avoir des spectacles et des tonnes d’explications intéressantes, nous n’accrochons pas vraiment. Nous aimons être libres de notre temps et de nos visites (même s’il faut reconnaître que c’est reposant de juste « suivre » le mouvement).

Le soir, le bateau reste à quai et nous profitons d’un repas agrémenté de danses marquisiennes de danseurs locaux sur le pont extérieur du bateau.

Jour 5 : Ua Pou

Le bateau s’est déplacé pendant que nous dormions. Lorsque nous nous réveillons, le bateau est déjà à quai à Hakahau, le village principal de cette petite île, et le déchargement du fret a déjà commencé.

Nous embarquons directement dans un 4×4 (en petit groupe cette fois-ci, puisque c’est une excursion payante) pour aller vers un village reculé sur la côte ouest. Nous faisons plusieurs arrêts pour admirer le paysage qui change de baie en baie. Tantôt aride avec une végétation rase, tantôt vert avec une végétation luxuriante. Nous passons devant l’aéroport qui présente comme spécificité d’avoir une piste qui remonte sur la fin. Arrivés au village de Hakaotu qui est encaissé dans une vallée et donc tout en longueur, nous nous promenons tranquillement. Enfin, nous faisons un arrêt chez des locaux qui nous offrent des fruits, et nous présentent des danses et leur artisanat. Dans ce village reculé (1h30 du village principal d’où nous avons débarqué) vivent 200 personnes plutôt en autarcie.

En fin de matinée, nous repartons en direction de Hakahau pour déjeuner avec le groupe. Nous nous promenons dans le village et le centre culturel pour voir l’artisanat, et profiter de la connexion wifi de la librairie-bibliothèque. Enfin, nous terminons la journée par une baignade sur la superbe plage où l’eau est vraiment chaude.

Cette île a été un vrai coup de cœur. C’est beau et paisible (malgré le groupe du bateau) avec son petit village, ses paysages variés, ses habitants accueillants et sa grande plage devant le port. Nous avons en tête d’y revenir un jour pour y passer plusieurs semaines, déconnectés et hors du temps…

Jour 6 : Hiva Oa (Atuona) et Tahuata (Plage déserte)

Ce matin, c’est encore plus speed que les 2 précédentes journées (déjà très speed) puisque nous n’avons que la matinée pour visiter le village de Atuona sur l’île de Hiva Oa.

Un « Truck » (bus local) nous emmène jusqu’au cimetière en haut du village où sont les tombes de Paul Gauguin et Jacques Brel qui vécurent tous les 2 sur cette île. Bon, avec une centaine de personnes dans un petit cimetière, l’ambiance est un peu bizarre !

Alors, nous redescendons vite au village où nous visitons le centre d’artisanat, le musée Gauguin (où nous avons une petite conférence d’un de nos guides sur la vie de Gauguin, particulièrement lors de son passage sur Tahiti puis la fin de sa vie aux Marquises). Puis, hop, il faut retourner au bateau !… Bref, une visite de ce village un peu trop éclaire pour bien sentir l’atmosphère de ce lieu, qui a pourtant tant plu à ces 2 artistes.

Après le déjeuner sur le bateau (qui quitte pendant ce temps là Hiva Oa), nous sommes débarqués par barges sur une magnifique plage déserte et inhabitée de l’île voisine de Tahuata (mais plus si déserte avec une centaine de touristes dessus, mais néanmoins très jolie…). L’escale de seulement 1h30 est un peu rapide, mais appréciable avec les enfants pour jouer dans le sable et se baigner (mais mer agitée, et eau vite profonde ; pas de lagon ici !).

Jour 7 : Fatu Hiva

Le débarquement se fait au petit matin dans la baie d’Omoa, sur cette île qui est une des plus isolées : il n’y a pas d’aéroport et le quai ne permet pas aux cargos de se mettre à quai. Le déchargement et le chargement du fret, comme celui des passagers se fait uniquement par les barges. Nous visitons le petit village tranquille et, comme dans chaque village désormais, nous allons voir le travail des artisans. La spécialité de cette île est le tapa : des écorces d’arbres travaillées qui servaient jadis de vêtements et sur lesquelles, aujourd’hui, les femmes peignent à l’encre de Chine.

Avec Éléanor nous partons pour une longue randonnée de 15km qui va nous faire rejoindre l’autre baie et village de l’île, tandis que Laetitia et Victor rejoignent le bateau pour faire le trajet par la mer. La randonnée est difficile, car ça grimpe beaucoup (dénivelé de 650m) et est rendu encore plus difficile par la pluie qui transforme la piste en terrain boueux et glissant. Heureusement, la météo devient plus clémente et nous permet d’admirer les paysages superbes et préservés du centre de l’île et des vues magnifiques sur la côte. Un pique-nique de luxe nous attend à mi-chemin : les cuisiniers nous préparent des sandwichs à la demande façon Subway !

Nous arrivons 5 heures plus tard à Hanavave. Éléanor a marché une bonne partie, je suis très fier d’elle ! Les guides qui ont cherché à me dissuader de faire la randonnée avec Éléanor me diront plus tard que c’est la plus jeune passagère à l’avoir faite ! Le petit village de Hanavave qui est encaissé dans une vallée est verdoyant et tranquille. Nous profitons de ce moment de quiétude avant de rembarquer sur le bateau.

Jour 8 : Hiva Oa (Puamau) et Tahuata (Vaitahu)

Nous débarquons à nouveau sur l’île de Hiva Oa, mais de l’autre côté cette fois-ci, dans le petit village de Puamau où le fret comme le débarquement des passagers se fait par les barges. Nous visitons le site archéologique de Te I’Ipona qui présente comme intérêt d’avoir des Tikis datant d’il y a plus d’un siècle en bon état de conservation. Un guide nous donne des explications sur ce site et sur la vie à l’époque. Ensuite, nous retournons au bateau en passant par le bord de mer.

Le bateau appareille ensuite pour l’île de Tahuata, tout en longeant la côte de Hiva Oa offrant ainsi un superbe panorama.

Nous débarquons sur Tahuata, dans le village de Vaitahu pour seulement 2 heures. Nous avons le temps de faire le tour du petit village, voir l’artisanat local (pour changer ! 🙂 ) et visiter la superbe église où l’un des guides nous explique son histoire.

Jour 9 : Ua Huka

Nous débarquons en barge et montons dans des voitures qui nous emmènent successivement dans un jardin botanique où nous recevons des explications sur les fruits des Marquises, un musée (où de superbes reproductions de tikis et autres objets marquisiens d’époque nous font nous faire la réflexion que les artisans d’aujourd’hui sont peut être doués, mais pas très créatifs) puis un centre d’artisans, justement !

Cette virée nous permet de contempler les paysages superbes de cette île où la végétation est rase (ou carrément inexistante). Cela n’est pas sans nous rappeler Ua Pou que nous avions beaucoup aimé pour sa diversité de paysages.

Nous rentrons sur le bateau juste après un déjeuner à terre. Le reste de la journée se fera en mer, entre piscine et jeux dans le grand salon, puisque c’est la fin de la croisière aux Marquises : nous entamons notre retour vers Tahiti.

Jour 10 : en mer

Nous avons désormais nos habitudes sur le bateau pour passer le temps avec les enfants, entre la piscine, la salle de conférence (lorsqu’il n’y a pas de conférence… juste pour profiter de l’espace et de la moquette !) et les grenadines à l’eau au bar !

Jour 11 : Rangiroa

Comme à l’aller, histoire de couper le trajet pour les passagers, le bateau fait un arrêt dans les Tuamotu qui sont sur « la route » de Tahiti. Nous débarquons sur l’île de Rangiroa de bonne heure du bateau pour aller faire une promenade dans un bateau à fond de verre sur le lagon et observer les fonds marins. Nous allons également faire du snorkeling. Nous nageons avec des milliers de sergents-majors (attirés par la nourriture, une fois de plus…) et quelques requins pointe noire (même Éléanor viendra dans l’eau pour les observer cette fois !). Nous terminons la matinée sur une plage avant de retourner sur le bateau pour une nouvelle après-midi en mer (et nos activités habituelles : piscine, jeux et bar !).

Jour 12 : Bora-Bora

Tout comme les Tuamotu, l’arrêt à Bora-Bora est uniquement pour faire plaisir aux passagers. Les marins s’occupant du fret sont eux en vacances depuis 3 jours ! Plusieurs activités payantes sont proposées, mais comme nous sommes déjà venus et avons déjà fait des excursions dans le lagon, nous choisissons de passer la journée sur un motu (îlot) qui a été privatisé par la compagnie.

C’est l’occasion de passer du temps avec les quelques jeunes du bateau (oui, il n’y avait pas que des vieux !) avec qui nous avons sympathisé (Nany s’est fait une grande copine, Léa, qu’elle ne lâchait plus à la fin de la croisière !) et de profiter d’une plage et d’une eau incroyable. Quelques raies pastenagues nous ont même rendu visite dans l’après-midi au bord de la plage !

Jour 13 : le retour

Ce n’est pas vraiment une journée, puisque quand nous nous réveillons, le bateau est déjà à Quai à Papeete. Après le petit-déjeuner, nous prenons nos cliques et nos claques et partons pour de nouvelles aventures, le coeur gros de quitter ce bateau et toutes les personnes avec qui nous avons sympathisé.

Conclusion : notre avis et quelques informations pratiques sur cette croisière en famille en Polynésie française

Partir en croisière était une première pour nous. Nous voulions tenter l’expérience, mais pas sur n’importe quel bateau.

Le choix de l’Aranui 5 s’est avéré judicieux : peu de passagers (190 tout de même, mais certains bateaux de croisière embarquent 5000 passagers !), un cadre assez luxueux, mais avec une ambiance très détendue (notamment grâce au personnel entièrement polynésien qui se mélange allègrement avec les passagers), la découverte d’îles qui semblent au bout du monde en arrivant par la mer et l’expérience d’un cargo mixte où le rythme des escales se fait en fonction du chargement et du déchargement des marchandises. En plus, on a très bien mangé (un peu trop certainement) tout au long de la croisière !

Néanmoins, nous avons moins apprécié le côté hyper réglé de cette croisière : il faut manger à telle heure, descendre du bateau à telle heure, rester à tel endroit ce temps-là, etc. Nous qui aimons notre liberté, profiter, traîner, contempler, ce n’est pas fait pour nous. De plus, le temps sur chaque île est très limité (au maximum une journée entière, parfois uniquement quelques heures) et c’est très très frustrant.

Il faut savoir que cette croisière coûte assez cher : 3800 € par adulte et moitié moins pour les enfants (et gratuit pour les bébés) en cabine standard (la moins chère). Mais nous avons trouvé que le prix était justifié. À noter que le bateau dispose également de dortoirs. Les autres jeunes avec qui nous avons sympathisé y étaient ; ce sont des dortoirs de 4 personnes (2 lits superposés) avec salle de bain. Le coût serait de 2500 € par adulte (donc 1250 par enfant). Avec un bébé cela ne nous semblait pas approprié, mais pour une famille de 2 adultes et 2 enfants cela peut valoir le coup (et, surtout, le coût !). Malgré ce prix, les croisières sur l’Aranui 5 se remplissent vite : il faut réserver longtemps à l’avance pour s’assurer d’avoir de la place !

Bien que comme toute croisière (j’imagine), il y ai une majorité de personnes âgées à bord, voyager avec nos enfants n’a pas présenté de difficulté. Au contraire, le personnel était aux petits soins avec nous et les enfants avaient une centaine de papy et mamie à disposition (sauf 2 ou 3 qui trouvaient que nos enfants faisaient trop de bruit…). Bon, parfois, notre statut de seule famille avec de jeunes enfants nous a valu des traitements préférentiels dont nous nous serions bien passés : des frites à la place des légumes pour Éléanor, une voiture qui nous attend systématiquement pour nous éviter de marcher…

Le bateau ne présente pas de problème de sécurité pour des enfants (tant qu’on ne laisse pas courir un bébé sur un pont extérieur !) et dispose de grands espaces intérieurs fermés où l’on peut jouer en famille en toute sécurité et tranquillité. La présence de la petite piscine est un plus, mais il faut savoir qu’une fois en mer elle se transforme en piscine à vague (pas pratique avec un bébé, mais les enfants adorent ça !).

Pour terminer cet article, je vous laisse découvrir quelques photos de notre quotidien sur le bateau

8 réflexions au sujet de “Récit de notre croisière en famille en Polynésie vers les Marquises dans le cargo mixte Aranui 5”

  1. Vous êtes formidables et tellement beaux à voir avec vos enfants. Merci pour ce beau compte-rendu si intéressant. Les photos sont superbes et celles prises avec le drone sont renversantes. J’adore vous suivre comme vous le savez et à chaque fois que je vois apparaître un article, je suis toute excitée, c’est comme un cadeau que je reçois. Merci de prendre ce temps pour nous, pour ma part c’est grandement apprécié. Bisous à toute la famille.

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  2. Enfin je suis allé sur votre site, merveilleux, avec tous vos commentaires sur vos voyages, et je n’ai pas encore tout vu. Et nous sommes, ma femme et moi, heureux de vous avoir croisé sur la muraille de Chine en Mars, avec vos enfants, et vous nous avez donné votre adresse « famille nomade ».
    Nous vous souhaitons Santé, partage et beaucoup d’autres voyages dans ce monde en folie.
    Cordialement
    Viviane et Guy

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  3. Kaoha nui Tony, Laetitia et les enfants,
    J’ai découvert votre blog à l’occasion de la préparation de notre voyage en Nouvelle-Zélande avec notre puce de 4 ans.
    De fil en aiguille, j’ai eu envie de vous lire un peu plus 🙂
    Également globe-trotteuse dans l’âme, quel plaisir de voir que vous avez pu découvrir les Marquises qui sont pour moi, un des rares endroits au monde, encore préservé et où il est très agréable de vivre.
    On a dû se croiser à Ua Pou car je viens d’y passer 2 ans où j’y ai laissé une partie de mon cœur, comme j’aime à le dire 😉 Je vous souhaite de pouvoir y retourner un jour! En plus, la vie là-bas avec des enfants est tout simplement idéale.
    J’aimerais juste apporter 2 corrections à votre récit:
    – les Marquises sont situées à 1 500 km de Tahiti et non 4 000 km comme écrit au début de votre article
    – le nom de l’île du jour 8 est Ua Huka
    Actuellement, je suis à Bora-Bora pour y découvrir une autre facette de la Polynésie 🙂
    Bonne continuation et au plaisir de continuer à vous lire.

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    • Merci Laetitia pour ce commentaire, et merci pour les remarques. J’ai corrigé !
      Profite bien de Bora, on est jaloux 🙂 On a hâte de retourner dans ce paradis qu’est la Polynésie !!

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  4. couple séniors de 65 et 67 ans, nous venons de réserver sur l’Aranui en chambre double standard pour le mois de novembre 2022.
    J’ai bien aimé votre « reportage » , les photos prises avec le drone, les petits commentaires concernant chaque étape. Ca nous donne vraiment une idée de la croisière.
    Vous parlez de manque de temps à chaque étape, mais nous avons fait déjà plusieurs croisières avec de « grands » paquebots et je pense que ça ne va pas nous surprendre et qu’au contraire nous allons être agréablement surpris par rapport à ces « trop grands » bateaux de croisière.
    Encore merci pour cet « instant de vie » avec vos enfants et vos très belles photos.

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